Jean Cassou, fondateur du Musée d’Art Moderne de Paris, a préfacé le premier recueil de poèmes de Marc Verhaverbeke, accompagnés de dessins de Sylvain Besançon. C’était en 1970. Six autres recueils ont suivi jusqu’en 1987, souvent accompagnés de photos ou de dessins. Marc anime des ateliers d’écriture depuis le milieu des années 1970, dans des MJC, Comités d’entreprise, médiathèques ou lycées, et même dans une librairie. Souvent ces ateliers débouchent sur des publications, des expositions ou des représentations théâtrales, comme celle qui a suivi la publication d’Ecrit sur des feuilles, un livre réalisé avec des femmes d’origine africaine habitant Noisiel (77), aux Rencontres des cultures urbaines à La Villette, à la fin des années 1990. En juin 2010, Chantal Loïal (compagnie Difé Kako) lui demande d’écrire quelques textes pour un solo de danse consacré à la « Vénus hottentote ». C’est le début d’une aventure qui passera par une création chorégraphique à Fort-de-France en 2011 et la publication, en 2012, du même titre : On t’appelle Vénus. Un conte écrit par Marc sera bientôt interprété dans un nouveau spectacle de la compagnie.