Biographie
Mahi Zohra
Après un Bac « Philo », des études de droit à la faculté d’Alger et un court passage dans la magistrature à la Cour d’appel de la même ville, elle est avocate depuis près de quarante ans, d’abord au Barreau d’Alger puis à celui de Paris. Bien que très imprégnée par son enfance villageoise et la tradition de son terroir, elle est ouverte au monde, à toutes les cultures, toutes les littératures et toutes les musiques. En fait, à tout ce qui est universel. La lecture, l’écriture de la poésie et l’écoute de toutes les musiques (les grandes et les petites), restent ses activités de prédilection. Tout ce qui se parle, se chante et s’écrit constitue, à son sens, le dialogue ininterrompu de l’humanité, avec chacun de nous, où qu’il se trouve, de quelque culture qu’il soit et à n’importe quelle époque. Ses grands regrets : Sa trop grande émotivité incompatible avec la brillante carrière d’actrice classique dont elle rêvait, déclamant Le Cid avec Gérard Philipe (Elle incarnait Don Diègue au lycée) Plus sérieusement : Ne pas avoir appris le piano comme Claude, sa camarade de lycée non pas par manque d’enthousiasme mais par manque de moyens… Zohra est une touche à tout, curieuse, inventive, elle excelle dans son écriture comme dans ses activités, on dit d’elle que c’est une femme de conviction, une femme droite, ce n’est pas par hasard si ses livres en témoignent…